L'association en quelques mots
L’association est née en novembre 2016 par Maxime & Elodie Lebigot, suite à la constatation suivante :
⇒ En France la population a de plus en plus de difficultés à trouver un médecin traitant et référent.
Il s’en résulte pour ces personnes de nombreuses difficultés, pour se faire soigner rapidement et pour renouveler leurs ordonnances.
Le but de l’association nationale est de faire valoir les droits de tous les patients souffrant de ce fléau dans tous les départements français en rétablissant la juste répartition des médecins sur tout le territoire afin de faire cesser cette inégalité criante des citoyens devant leur droit le plus cher : leur santé ; et revendiquer haut et fort qu’à « cotisations égalitaires », le droit à la santé doit être égalitaire pour tous, quelle que soit la région d’habitation.
Pour faire valoir nos droits, nous sommes :
- Nombreux : 7 à 9 millions de patients n’ont pas de médecin traitant.
- Soutenus par de nombreux maires de France individuellement et collectivement par l’intermédiaire des associations.
- Défendus par Maître Corinne Lepage qui, par un courrier aux ministres adressé le 11 janvier 2021, enjoint l’Etat d’agir, et à défaut, saisira le Conseil d’Etat.
Nous avons besoin de vous !
- Vous, nos adhérents, et vous, nos futurs adhérents, pour diffuser l’information sur l’association et inciter un maximum de patients à nous rejoindre.
- Pour être à l’initiative de la création d’antennes de l’ACCDM dans un maximum de départements : vous, habitués de l’associatif ou non, lanceurs de pétitions dans vos communes, médecins découragés d’être encore contraints de travailler après l’age de la retraite…
Vous souhaitez adhérer ? C’est facile !!!
- Voie Electronique : HelloAsso
- Voie Papier : Bulletin d’adhésion ACCDM
Vous souhaitez créer une antenne de l’ACCDM dans votre département ? Retrouvez nos Statuts
Vous pouvez nous contacter par mail : desertsmedicaux@gmail.com ou par téléphone en joignant Maxime Lebigot au 06 14 93 89 45 ou Laure Artru au 06 70 93 01 97.
Rendez-vous aussi sur Facebook
Le travail transitoire des médecins en zone sous dotée & la Régulation d'installation des médecins.
Depuis toutes ces années quelles qu’elles soient et malgré leurs coûts prohibitifs, aucunes mesures incitative n’ont réglé le problème de la pénurie médicale dans un territoire sous doté ce, qui est logique car on ne peut pas demander à un médecin de s’installer là où il ne veut pas passer sa vie . Il sera donc demandé au jeune médecin une « redevance » de travail transitoire à la fin de ses études et dans sa région d’origine sa durée est à définir. Nous demandons aussi, comme c’est le cas pour les pharmaciens, notaires, huissiers, un maillage territorial des médecins . Aucune nouvelle installation en zone sur dotée, encouragement à l’installation en zone sous-dotée, limitation des remplacements de départs en retraite en zones sur-dotées.
Maison de Santé Pluri professionnelle (MSP) & l'activité salariée
Ce n’est pas le remède miracle. En revanche, nous sommes d’accord que les nouvelles générations veulent travailler à plusieurs, avec les différentes professions paramédicales. Attention à la mise en place de ces MSP. Il faut que ces MSP soient le fruit de la réflexion des professionnels de santé soutenu par les collectivités. Il ne faut pas que les collectivités disent : « on fait un bâtiment, on marque maison de santé et après c’est aux médecins de venir ». C’est un mode d’exercice que la nouvelle génération surtout féminine apprécie. Il faut pouvoir avoir accès aux deux modes d’exercice.
Le rattrapage de soins
Dans cette période d’épidémie COVID les Français réalisent que leur santé est leur bien le plus cher. Ils savent que les soins auxquels ils ont habituellement accès n’ont pas pu être effectifs pendant la période de l’épidémie et que ses soins devront être rattrapés. Il en est de même en ce qui concerne les déserts médicaux, les patients cotisent mais ne bénéficient ni des soins ni des actes de préventions auxquels ils ont droit Nous demandons que des consultations de rattrapage et de soins soient spécifiquement et rapidement organisées pour eux afin qu’il retrouvent la même espérance de vie que celle qu’ils auraient eue si leur santé avait été correctement prise en charge.
#1
Mayenne
C'est ici que tout est né !
L’Association de Citoyens Contre les Déserts Médicaux a été lancée en Mayenne, en novembre 2016. Un jeune couple s’est retrouvé sans médecin pour leur fils de 5 mois à l’époque et ils ont décidé de se rassembler en collectif puis association, car ils trouvent anormal d’entendre de la part de l’ARS, qu’il faut aller aux urgences pédiatriques pour le suivi vaccinal de leur enfant par exemple !
L’association a pu rencontrer grand nombres de décideurs locaux et nationaux. L’objectif de cette dernière est que chaque Français ait un médecin traitant, grâce au maillage national de ces derniers.
Contact : Maxime Lebigot : Tel :06 14 93 89 45 – desertsmedicaux@gmail.com
#2
Orne
Des citoyens qui veulent s'unir !
Le 15 mars 2017, une réunion organisée conjointement par l’ACCDM et la municipalité de la Ferté-Macé a permis de lancer l’antenne ornaise. En effet, le bassin fertois se retrouvait alors avec 2 médecins pour 25000 habitants !
La situation n’était pas tenable.
Depuis une maison pluridisciplinaire a vu le jour mais avec 1 seul médecin, et un centre de santé départemental s’est également ouvert !
Notre antenne a pu intégrer le conseil territorial de Santé de l’ARS de Normandie, ce qui permet d’exprimer la voix des usagers !
Contact : José COLLADO : 06 62 43 02 66 ; desertsmedicaux.orne@gmail.com
#3
Sarthe
Des citoyens et des médecins engagés !
Dans le département de la Sarthe en janvier 2021, près de 70 000 patients sont sans médecin traitant. L’on dénombre 24 installations pour 39 départs par an, la Sarthe perd donc une quinzaine de médecins généralistes annuellement. Ils ne sont plus que 331 à exercer aujourd’hui dans notre département, ce qui est bien insuffisant. La ville du Mans souffre autant que le milieu rural, et à cause de cette érosion du nombre de praticiens, 25 000 sarthois perdent chaque année leur médecin traitant (source France Bleue).
Une réunion publique a été organisée en mars 2020 à Chantenay-Villedieu, juste avant le confinement. En présence de Maxime Lebigot, président de l’ACCDM à Laval, cette réunion à laquelle ont assisté 150 personnes (politiques, patients, médecins, infirimiers, pharmaciens,…) a été fondatrice de notre antenne.
Composition du bureau de l’ACCDM de la Sarthe : Dr Laure Artru, le Dr Michel Landais, Patrick Mahoué, Martine Rottié, Martine Brunet, Jacqueline Martin, Michel Mary et Nathalie Delacotte, Dr Jean-Pierre Rossard, Jacques Villeneuve et Maryline Joyau.
Vous voulez nous rejoindre ? Vous êtes les bienvenus !
Contact : Laure Artru : 06 70 93 01 97 – desertsmedicaux.sarthe@gmail.com
#4
Haute Saône
Un médecin et une citoyenne engagés !
Le Docteur LAINE Patrick est installé depuis 1982 à SAULNOT (Environ 800 habitants). Il avait plus 2500 patients répartis dans de nombreux villages autour de Saulnot sur un rayon de 15 kilomètres.
Docteur LAINE Patrick voit à peu près 100 patients en visites à domicile par semaine soit 400 par mois dont 70% ne peuvent se déplacer pour des raisons sociales, économiques ou médicales qui n’auront plus vraisemblablement de solutions pour se soigner car un grand nombre ne trouvera pas de confrère qui veuille se déplacer à leur domicile.
C’est cette responsabilité qui fait que le docteur LAINE continue son activité malgré sa retraite, mais cela ne va pas pouvoir perdurer des années. C’est pour cela qu’il est nécessaire que le système de Santé change !
Contact : Fatma Bouzakri : 06 21 52 31 86 – desertsmedicaux.hautesaone@gmail.com
#5
Nord
Un médecin et sa commune engagés !
Le Dr LEVISSE Pierre est installé depuis 1981 à Lederzeele (commune rurale de l’arrondissement de Dunkerque).
Depuis 3 ans (suite au départ subit de son collaborateur), le Dr LEVISSE se démène pour trouver d’abord un collaborateur puis un successeur (cabinet construit pour 2 médecins).
En vain pour l’instant: aucune aide du Conseil de l’Ordre Départemental et des pouvoirs publics (et même des bâtons dans les roues: « virus pandémique de l’Administration, quand tu nous tiens »)
Par l’intermédiaire de l’annonce faite sur « SOS Village », j’ai été contacté par l’ACCDM et j’ai décidé de créer une antenne Nord.
Le développement est en cours et j’invite toute personne citoyenne concernée et intéressée à me rejoindre afin de recruter le plus possible et en particulier des membres d’association et des Conseils Municipaux.
Contact : Dr Pierre Levisse : desertsmedicaux.nord@gmail.com ou 06 08 11 38 54
#6
Allier
#7
Région Parisienne – Paris
À Paris, l’offre de soins reste importante. Pourtant, des micros déserts médicaux apparaissent dans certains quartiers.
Nous sommes tous concernés .
Quel parisien n’a pas des membres de sa famille , des amis en région et même en Île de France confrontés, comme déjà 10 millions de nos concitoyens, à un problème d’accès aux soins ?
L’augmentation des télétravailleurs, des nouveaux retraités, des néo-ruraux, des accédants aux résidences secondaires, en quête d’une meilleure qualité de vie hors de la capitale et des grandes villes risquent d’amplifier ce fait de société.
Cette rupture d’égalité des droits fondamentaux n’est pas acceptable.
C’est pourquoi, je rejoins mes concitoyen-nes engagés dans la lutte contre les déserts médicaux en adhérant à l’ACCDM.
Contact : Annie FORTEMS – desertsmedicaux.paris@gmail.com – 06 73 31 25 64
#8
Tarn
Petites Villes de demain sans médecin
Dans les Monts de Lacaune , il y a 20 ans nous avions 6 médecins généralistes, aujourd’hui il n’en reste plus qu’un seul dont le départ est annoncé pour fin 2021.
6000 habitants vivent sur un territoire où les ressources médicales les plus proches sont à 25 km (30 min) et l’hôpital à 50 km (1h)
Puisque la profession médicale n’est pas capable de trouver des solutions, il faut que les politiques reprennent la main
Stop au corporatisme, il faut légiférer
Inquiète pour la santé de mes concitoyen-nes, j’ai décidé d’adhérer à l’ACCDM qui mène un combat pour l’égalité d’accès aux soins
Contact : Sandrine Marchand – desertsmedicaux.tarn@gmail.com – 06 72 17 06 66
#9
Manche
Même si mon entourage me donnait des informations sur les délais à rallonge lors de besoin de consultations médicales, j’ai réalisé l’ampleur de la réalité de la désertification médicale à mon emménagement à Granville 2020.
En effet, sans mon réseau, il aurait été encore plus difficile de trouver un médecin généraliste qui accepte un nouveau patient.
Le désert médical manchois va bien au-delà car il s’étend au manque de spécialistes : du besoin en radiographie, échographie, jusqu’au délais de plusieurs mois pour un rendez-vous chez un ophtalmologiste et tant d’autres…
C’est pareil pour Avranches, Cherbourg etc.
Chacun de nous connaît quelqu’un dans son entourage amical, familial ou professionnel, une personne dont la santé s’est détériorée faute d’accès rapide aux soins, ou bien dont les frais de transport pour l’accès aux soins ont augmenté ou qui a renoncé à consulter et donc, à se soigner, car celui lui semblait être « le parcours du combattant pour y accéder ».
La désertification médicale représente, à mon avis, un facteur de risque de dégradation de la santé. C’est une rupture d’égalité des droits des citoyens concernant l’accès aux soins pour tous.
Pour ces raisons, j’ai proposer de représenter l’ACCDM (Association des Citoyens de lutte Contre les Déserts Médicaux) sur le département de la Manche, l’antenne ACCDM est basée à Granville.
Contact : ACCDM – Manche – 233 rue Haute Lande, 50400 Granville
desertsmedicaux.manche@gmail.com et 06 64 25 03 07
#10
Dordogne
Cela n’arrive qu’aux autres ! ....
Fatalité ou conséquence d’années d’incurie de nos gouvernants, le constat est sans appel : les
déserts médicaux avancent partout en France., entraînant retards de prise en charge, défaut de soins
pour les patients et surcharge de travail pour les médecins.
La Dordogne n’échappe pas au désastre. Dans ce département rural où plus de 20 % de la
population vit en zone isolée, et où 13, 8 % de s habitants a plus de 75 ans, le manque de médecins
se fait cruellement sentir. En effet, la densité moyenne de médecins généralistes est de 7,8 pour
10 000 habitants, bien inférieure à la moyenne nationale qui est de 10,7 % pour 10 000 habitants. De
plus, les médecins y sont plus âgés que la moyenne nationale.
Alors les citoyens se mobilisent et font pression sur les décideurs pour qu’enfin des décisions fortes
soient prises.
C’est le cas de notre association nationale, l’ACCDM, pour laquelle j’ai créé une antenne en
Dordogne.
Il faut que nous soyons le plus nombreux possible pour faire bouger les choses.
Interventions devant les Conseils municipaux et communautaires, contacts avec avec l’ARS, la CPAM,
les représentants de l’Etat, les Députés, les Sénateurs, la presse, la tache est immense et j’invite
donc toute personne motivée à me contacter pour travailler sur ce sujet. Et si vous ne pouvez pas
donner de votre temps, votre adhésion viendra conforter l’association dans ses missions.
L’union fait la force ! Rejoignez- nous !
Contact : desertsmedicaux.dordogne@gmail.com LE BARBIER Claudine : 06 83 38 03 76
#11
Loir et Cher
Entre Chambord et la Sologne, entre Histoire et nature.
Elle est née d’un constat personnel.
En effet, diagnostiquée fibromyalgique, j’ai perdu en un an deux des piliers de mon parcours de soins : mon médecin traitant et mon médecin de la douleur au Centre Anti Douleur de Blois.
J’ai alors écrit un post sur FB comme une bouteille à la mer, et j’ai été surprise du nombre de réponses !
Alors on se documente, on va sur Internet et on découvre que les Déserts Médicaux touchent de plus en plus de zones rurales mais aussi en ville.
Forte de ces éléments et de l’envie d’agir, j’ai pris l’initiative de rejoindre l’ association ACCDM ( Association des citoyens contre des Déserts Médicaux) et d’ouvrir cette nouvelle antenne.
L’adage dit que l’union fait la force : cette antenne regroupera pour les Loir et chériens touchés directement ou dans leur entourage.. alors venez nombreux nous rejoindre et partager vos expériences et être acteur de votre santé.
Valérie MAGNIN LEREDE – 06 99 45 98 36 – Adresse mail desertsmedicaux.loiretcher@gmail.com
#12
Charente
Même type de constat ici qu’en bien des territoires : la Charente est dans le « top 10 » des déserts médicaux des infirmiers libéraux ; 30% des communes n’ont plus de médecins généralistes ; le service d’oncologie à l’hôpital d’Angoulême a dû fermer (il faut aller jusqu’à Bordeaux, à 130 km); 40% des lits doivent fermer à l’hôpital de Ruffec (il y manque 12 infirmiers et 2 docteurs). En 2010, quand nous sommes arrivés ici mon mari et moi, il y avait 7 généralistes à Chalais ; il n’y en aura plus que 2 en 2022, qui prendront eux-mêmes leur retraite dans les 5 années à venir.
Enjeu sanitaire majeur qui met en danger la santé et la vie même de la population. Alors quoi ? La solution ne peut être que politique : la santé publique est une compétence de l’état, et l’accès aux soins un droit pour le citoyen, qui finance le système de santé par ses impôts et ses cotisations – et qui finance aussi les études de médecine. Et ce serait sans contrepartie ? Question éminemment républicaine. Le problème est grave, parfaitement identifié, il ne date pas d’hier et transcende les clivages partisans.
Des députés bougent, des sénateurs aussi. Mais en attendant que des lois soient votées, et leurs décrets d’application, il va se passer beaucoup trop de temps pour le citoyen « lambda » qui a besoin d’être soigné, et se voit refuser un rendez-vous par les médecins qu’il lui faut solliciter ailleurs (et parfois loin), qui « ne prennent plus de nouveaux patients ». Il y des années qu’on voit venir les choses. La population souffre. En silence jusque quand ?
Contact : Anne et Pierre ORTH, desertsmedicaux.charente@gmail.com – Lieu-dit La Danière, 10 rue Saint Vincent, 16210 Curac
#13
Lot
Ne devenons pas des patients abandonnés !
Octobre 2021 : Confrontés dans l’urgence, à la recherche d’un nouveau médecin référent, pour remplacer notre médecin habituel, frappé d’une « interdiction d’exercer » au motif de ne pas vouloir se faire vacciner, et devant la difficulté rencontrée d’en trouver UN qui vous accepte, nous avons décidé de créer le « Collectif des Patients Abandonnés du Lot » CPA46, pour tous les citoyens se trouvant dans cette situation avec une adresse, un mail et un N° de téléphone.
Décembre 2021 : Devant le nombre de témoignages qui nous sont parvenus, nous avons découvert que le Lot fait partie des premiers territoires touchés par les « déserts médicaux » avec le triste record d’être le département où la moyenne d’âge de sa population est la plus élevée de France.
C’est dans ces conditions que notre collectif, sans structures, à souhaité rejoindre l’ACCDM pour en devenir l’Antenne du Lot et soutenir son action.
Janvier 2022 : Le CPA46, par son adhésion, devient l’Antenne du Lot de l’ACCDM, dont la structure nationale, nous permet de bénéficier de l’agrément du Ministère de la Santé et d’être habilité à défendre les intérêts des usagers. A ce titre nous postulons pour devenir des représentants des usagers de la santé auprès de toutes les instances concernées.
Contact : desertsmedicaux.lot@gmail.com – 05 65 20 00 46 – Jean RIGAL (06 22 31 13 79) – Philippe DUMONT (06 47 22 59 86)
#14
Calvados
En mars 2022, notre rapprochement avec ACCDM est motivé par le constat de l’accroissement inexorable des déserts médicaux, lequel implique l’impossibilité de se soigner pour des patients de plus en plus nombreux. Or, les citoyens contribuent, selon leurs capacités, au financement de la sécurité sociale et la protection de la santé est un droit constitutionnel depuis 1946, de fait confisqué à certains.
Notre département n’échappe pas à la fatalité et lorsque les personnes trouvent enfin un médecin qui accepte de les recevoir, elles doivent parcourir (pour celles qui le peuvent) de nombreux kilomètres qui leur coûtent en temps et en argent. Diverses instances compétentes sont sollicitées. Malgré cela, nous constatons que les praticiens quittent les Pôles de Santé Libérale Ambulatoire, récemment mis en service.
Notre collectif citoyen a pour objet de défendre l’accès aux soins par la présence de médecins au plus près des populations vivant dans la ruralité. Sachant, d’autre part que la cinquième branche de risque médicosocial n’est à ce jour pas organisée, bien que le maintien à domicile des personnes âgées dépendantes soit présenté comme une solution pour les prochaines années.